Comment nait et se développe une tumeur cérébrale?
Une tumeur se développe si des cellules se multiplient de façon non contrôlée. Une cellule mère produit en principe deux cellules filles strictement identiques, c'est-à-dire équipées du même génome mais parfois une cellule déviante inscrit une mutation dans son ADN et échappe à la surveillance du système immunitaire.
Cette cellule, en se divisant, donne naissance à une tumeur qui grossit et essaime dans l’organisme par les vaisseaux sanguins.
Lorsque ces cellules se multiplient de façon non contrôlée dans le cerveau, on parle de tumeur cérébrale.
Il existe plusieurs types de tumeurs cérébrales:
- les tumeurs primaires, qui naissent et restent localisées dans le cerveau
- les tumeurs métastasiques, nées dans une partie du corps et qui se propagent dans le cerveau
- les tumeurs cérébrales, qui sont les plus répandues et qui concernent la glie (tissu de soutien des neurones). Ce sont des gliomes. Il y a deux types de gliomes: les gliomes de bas grade qui sont des tumeurs peu agressives mais susceptibles de métastaser. Et les gliomes de haut grade qui sont des tumeurs très infiltrantes et très agressives.
Cette cellule, en se divisant, donne naissance à une tumeur qui grossit et essaime dans l’organisme par les vaisseaux sanguins.
Lorsque ces cellules se multiplient de façon non contrôlée dans le cerveau, on parle de tumeur cérébrale.
Il existe plusieurs types de tumeurs cérébrales:
- les tumeurs primaires, qui naissent et restent localisées dans le cerveau
- les tumeurs métastasiques, nées dans une partie du corps et qui se propagent dans le cerveau
- les tumeurs cérébrales, qui sont les plus répandues et qui concernent la glie (tissu de soutien des neurones). Ce sont des gliomes. Il y a deux types de gliomes: les gliomes de bas grade qui sont des tumeurs peu agressives mais susceptibles de métastaser. Et les gliomes de haut grade qui sont des tumeurs très infiltrantes et très agressives.
Des causes réelles inconnues, malgré certaines suspicions
Les causes réelles de l’apparition d’une tumeur cérébrale sont, pour le moment, encore inconnues.
Les causes environnementales font l'objet de nombreuses suspicions et un vaste champ d’investigation est ouvert en ce domaine, mais les résultats ne sont pas encore suffisants même si de nombreuses sources semblent être d'accord pour considérer que les radiations ionisantes seraient un facteur favorisant et que les ondes électro-magnétiques (téléphonie, wifi, antennes-relais surpuissantes, etc) pourraient avoir une certaine responsabilité en la matière.
A ce jour, la science et la médecine ne disposent d'aucun moyen pour empêcher l’apparition d’une tumeur cérébrale. La seule chose dont on semble être sûr, c’est qu’elles ne sont pas héréditaires, à de très rares exceptions près.
Les causes environnementales font l'objet de nombreuses suspicions et un vaste champ d’investigation est ouvert en ce domaine, mais les résultats ne sont pas encore suffisants même si de nombreuses sources semblent être d'accord pour considérer que les radiations ionisantes seraient un facteur favorisant et que les ondes électro-magnétiques (téléphonie, wifi, antennes-relais surpuissantes, etc) pourraient avoir une certaine responsabilité en la matière.
A ce jour, la science et la médecine ne disposent d'aucun moyen pour empêcher l’apparition d’une tumeur cérébrale. La seule chose dont on semble être sûr, c’est qu’elles ne sont pas héréditaires, à de très rares exceptions près.
Quels sont les traitements des tumeurs cérébrales ?
Le traitement repose sur la chirurgie et le plus souvent sur la chimiothérapie et la radiothérapie.
La chirurgie consiste à extirper la tumeur. L’emploi des moyens modernes tels que la microscopie opératoire et les méthodes de repérage permettent de réduire le nombre de cellules malades tout en limitant les risques d’altération des tissus sains, voisins de la tumeur.
Les gliomes sont inopérables car ils infiltrent le tissu cérébral. Le seul recours est la radiothérapie qui consiste à détruire les cellules tumorales.
La chimiothérapie, également utilisée, vise à bloquer la division cellulaire à l’aide de médicaments administrés par voie digestive ou intraveineuse.
La chirurgie consiste à extirper la tumeur. L’emploi des moyens modernes tels que la microscopie opératoire et les méthodes de repérage permettent de réduire le nombre de cellules malades tout en limitant les risques d’altération des tissus sains, voisins de la tumeur.
Les gliomes sont inopérables car ils infiltrent le tissu cérébral. Le seul recours est la radiothérapie qui consiste à détruire les cellules tumorales.
La chimiothérapie, également utilisée, vise à bloquer la division cellulaire à l’aide de médicaments administrés par voie digestive ou intraveineuse.
Où en est la recherche médicale en ce domaine ?
“Pour mettre au point un traitement, il faut déceler les mécanismes à l’origine de ce cancer en analysant les biopsis de la tumeur, explique le docteur Grill de l’IGR, le but étant de décrypter les dysfonctionnements génétiques ayant déclenché un processus de cancérogénèse”.
Deux différents types de gènes anormaux (ayant muté), induisant la formation d’un gliome, ont d'ores et déjà été découverts. Ces études ont permis de trouver de nouvelles cibles, c'est-à-dire certains récepteurs des cellules tumorales du gliome. A partir de là, de nouveaux traitements de chimiothérapie, ciblant les récepteurs des cellules cancéreuses ont pu être mis au point. Des souris porteuses de tumeurs humaines ont été traitées par radiothérapie, associée à ces médicaments.
“Les résultats sont très significatifs quant à l’évolution du gliome et de sa disparition“ explique le docteur Grill qui ajoute: "Nous avons là un formidable espoir de pouvoir stopper l’évolution de ces gliomes chez l’enfant".
Deux différents types de gènes anormaux (ayant muté), induisant la formation d’un gliome, ont d'ores et déjà été découverts. Ces études ont permis de trouver de nouvelles cibles, c'est-à-dire certains récepteurs des cellules tumorales du gliome. A partir de là, de nouveaux traitements de chimiothérapie, ciblant les récepteurs des cellules cancéreuses ont pu être mis au point. Des souris porteuses de tumeurs humaines ont été traitées par radiothérapie, associée à ces médicaments.
“Les résultats sont très significatifs quant à l’évolution du gliome et de sa disparition“ explique le docteur Grill qui ajoute: "Nous avons là un formidable espoir de pouvoir stopper l’évolution de ces gliomes chez l’enfant".
500 enfants morts par an et moins de 2% des fonds de la recherche médicale alloués
Oui, mais!! Aujourd'hui la recherche sur les cancers pédiatriques avance à vitesse d'escargot car elle n'est pas un “marché” potentiellement lucratif - trop peu de personnes étant concernées! - . Du coup, les laboratoires privés et les multinationales de la santé n'y investissent guère.
Restent les pouvoirs publics - qui font ce qu'ils peuvent, c'est à dire peu - et les soutiens privés, comme les associations.
Avec 500 morts par an, le cancer est la 1ère cause de décès des enfants par maladie et pourtant moins de 2% des fonds destinés à la recherche sont alloués aux cancers pédiatriques!
Association Olivia For Ever
Restent les pouvoirs publics - qui font ce qu'ils peuvent, c'est à dire peu - et les soutiens privés, comme les associations.
Avec 500 morts par an, le cancer est la 1ère cause de décès des enfants par maladie et pourtant moins de 2% des fonds destinés à la recherche sont alloués aux cancers pédiatriques!
Association Olivia For Ever